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17 Mai 2018
Coucou tout l'monde :)
Le week-end dernier Ewenn a passé un examen dans son école de roller afin de valider sa roue jaune. Bien qu'elle ait obtenu son diplôme sans trop de peine, j'ai constaté depuis le banc que le stress et l'appréhension étaient bien là.
Heureusement avec la miss on avait mis en place un petit programme de préparation les jours qui ont précédé le premier vrai examen de sa vie et on avait pas mal discuté des différentes éventualités: si elle tombait, si elle se trompait, si elle l'avait du premier coup ou pas du tout..
Les enfants n'ont ni la capacité de relativiser, ni le recul nécessaire qui permettent de passer un examen ou un concours sans trop d'encombres, j'ai donc décidé de partager avec vous quelques tuyaux pour les aider à bien se préparer.
15 jours avant le jour J:
La préparation commence bien avant le jour du grand événement. Pendant cette période il est essentiel:
La veille du grand événement:
Ce jour là il est important que votre enfant se détende et se vide la tête. S'il n'y a pas école ce jour là profitez-en pour organiser une journée en famille. matinée piscine, pique nique en plein air, laser game, sortie culturelle, cinéma...quelle que soit l'activité l'important est de passer une journée agréable et de se détendre.
Cela permettra à votre enfant de trouver rapidement le sommeil le soir et de passer une nuit reposante. Car si un enfant a besoin de bien manger, il a aussi besoin de bien dormir pour grandir et se développer.
Pensez également à le rassurer, à lui rappeler qu'il a les capacités nécessaires et qu'il est tout a fait normal d'être stressé. N'hésitez pas à prendre ses idoles (sportifs, chanteurs, acteurs...) comme exemple en lui expliquant qu'eux aussi ont le tract et la boule au ventre avant d'entrer sur le terrain ou sur scène. Et cela peut même se transformer en quelque chose de positif, l'aider à se surpasser à condition qu'on respire calmement et que l'on se concentre.
Évitez les comparaisons:
Votre petit dernier passe un examen que son frère ou sa sœur a obtenu ? Ses cousin et cousines pratiquent le même sport que lui à un plus haut niveau ? Si vous utilisez ces personnes comme exemple attention à ne pas créer l'effet inverse et ne pas faire naître un sentiment d'infériorité en comparant les enfants entre eux.
Par exemple on ne dit pas "regarde ta cousine comme elle est forte, tu devrais faire comme elle", ou "tu vois ton frère est plus petit et il y arrive" car si votre enfant manque de confiance en lui cela ne sera pas une motivation mais une frustration.
Vous pouvez par contre lui dire que sa cousine est aussi forte parce qu'elle travaille beaucoup, depuis longtemps, que lui aussi est doué dans un domaine, comme chacun d’entre nous, et qu'il suffit juste de le trouver.
L'essentiel est de trouver les bons mots, le bon ton et surtout de rester positif.
N'oubliez pas que chaque enfant est unique, différent des autres, qu'il a sa propre perception des chose, sa propre sensibilité, et que ce qui fonctionne pour certains ne fonctionnera pas forcément pour les autres !
A très bientôt pour un nouvel article :)
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